L’ivre d’auteurs (1996)

Dans L’ivre d’auteurs, Jean-Paul Dupuis saisit l’environnement, le dehors/dedans de l’atelier de Thierry Grave, la lumière qui l’entoure, celle bleutée d’un matin d’hiver à la campagne, celle jaillissante et rouge de l’objet que l’on forge. Il filme l’espace, les objets, les outils tout autant que les gestes, le visage, les mains du sculpteur et les textes, les partitions d’auteurs contemporains en train d’être « mis en forme, comme on met en musique des poésies ».