Avec des moyens pauvres et dérisoires, avec l’aide, la bonne volonté de ceux qui ont travaillé avec moi, j’ai pu réaliser mes films. Je les ai volés, arrachés à une part d’ombre, rarement offerte au Public, interdite…
Aujourd’hui, j’offre ma part de création, déjà accomplie, à la part créative, consciente, à l’éveil de chacun, de celui que l’on voudrait enclore définitivement dans une entité anonyme, dépersonnalisée, réduite à une masse globalisée, le Public. Je rends individuellement à qui le veut, mes films dérobés.