Stylograve (2005)

Avec Stylograve, tourné en très gros plans, l’oeil/caméra fait corps avec la main, les doigts de l’artiste, l’extrémité de l’outil qui s’attaque au métal et lui donne forme, comme si le cinéaste essayait de percer et de nous faire partager le secret de l’acte créateur. Ici, l’image et le son des outils font de temps en temps place à la parole, à cette parole qui donne à entendre la pensée de l’artiste.